Description[modifier]
Le groupe Porsche dont le siège social est situé à Stuttgart est le constructeur automobile ainsi que le groupe d'entreprises le plus rentable au monde en termes de marge d'exploitation1. Il a réalisé au cours de l'exercice 2008-2009 un chiffre d'affaires de 11,63 milliards d'euros pour un bénéfice net de 9,80 milliards d'euros2. Son capital est détenu pour une moitié par les familles Porsche et Piëch. Elles possèdent la totalité des actions à droit de vote. Les 50 % restant sont répartis entre des actionnaires privés et institutionnels. La capitalisation boursière de la compagnie est de 7,98 milliards d'euros en janvier 2009. Au 1er trimestre 2009, la société employait 12 774 salariés3.
Néanmoins, fin 2009, lors de la crise financière, la firme Porsche ne parvenait plus à refinancer un emprunt à court terme de 10 milliards de dollars qu'elle avait contracté pour assurer le contrôle de Volkswagen. La firme la plus rentable de l'automobile était au bord de la faillite. C'est ainsi que finalement, à la suite d'un bras de fer d'un an, c'est la firme Porsche qui fut phagocytée par Volkswagen4.
Histoire[modifier]
Deux Tiger II équipés de tourelles Porsche
Porsche 356 Speedster
Porsche 911 GT2 RS 2010
Porsche 993 GT2 (Droite) sur le port de Cannes
La première Porsche fut le modèle 64 disponible en 19385. Le second modèle fut la 356 de 1948 construite à Gmünd en Autriche, où la société avait été évacuée en 1944, mais après avoir construit quarante-neuf voitures elle retourna à Zuffenhausen. Ferdinand mourut peu après et c’est son fils Ferry Porsche qui prit les rênes. La 356 était une Volkswagen Coccinelle modifiée. Les dernières sortirent avec un quatre cylindres à plat totalement conçu par Porsche.
Historiquement, la première ébauche de la 911 date de 1959 ; la version définitive, quant à elle, a été présentée au Salon automobile de Francfort en septembre 1963. La 911 se devait de garder un air de famille avec les 356. Dans le compartiment moteur, on a opté pour un six cylindres de 2 litres, plus léger, refroidi par air, et toujours placé à l'arrière. Sa première appellation fut « 901 », mais Peugeot ayant déposé tous les numéros comportant un zéro central, elle fut abandonnée au profit de l'actuelle désignation « 911 ». Ainsi naquit la 911 qui, dès lors, n'a cessé d'évoluer avec son moteur « boxer » au couple enthousiasmant et au son qui plaît aux amateurs.
Ferdinand Porsche fut un constructeur d'armement au service de l'Allemagne Nazie. Il fut à l'origine de la conception de plusieurs chars allemands, dont le Jagdpanzer Elefant (nommé aussi Ferdinand, baptisé du nom de son fabricant), la Volkswagen Kübelwagen, un véhicule similaire à la Jeep Américaine et dérivé de la Coccinelle. Il présenta une étude sur un char lourd, le futur Tiger I, marché qui fut cependant remporté par Henschel, et une autre sur son successeur, le Tiger II, et, même si une nouvelle fois le marché fut remporté par Henschel, la tourelle type Porsche fut mise en production un moment le temps que celle d'Henschel, meilleure que celle de Porsche, soit produite. Porsche développa aussi un des projets de char super-lourd, le Maus, même s'il était dubitatif quant à son aboutissement. À la fin de la guerre, Ferdinand Porsche échappa de peu à un procès. Porsche n'a pas cessé sa production d'armement, la firme a par exemple été contactée pour la mise au point du successeur du Leopard I, le futur Leopard II.
En 1963, après des succès en course, la Porsche 911 fut lancée avec un six cylindres boxer. Ce modèle reste la référence de la marque. Au cours des années, les relations industrielles avec Volkswagen et sa filiale Audi sont restées très proches.
Le petit-fils de Ferdinand, Ferdinand Piëch, toujours son principal actionnaire en 2009, fut le président exécutif de Volkswagen. L’actuel est Martin Winterkorn précédemment chez Audi, Piëch ayant pris la présidence du conseil de surveillance (organe de contrôle plutôt que de direction) de Volkswagen.
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Depuis septembre 2005, Porsche a décidé d'augmenter sa part du capital dans la société Volkswagen avec laquelle il a toujours entretenu des liens étroits (VW-Porsche 914, Audi RS2, Porsche 924). Le Porsche Cayenne partage d'ailleurs sa plateforme avec le VW Touareg. Cette participation s'est encore accrue en 2006, pour atteindre 27,4 % du capital, Porsche se réservant la possibilité de monter jusqu'à 29,9 % (dépasser le seuil des 30 % l'obligerait légalement à lancer une OPA). Au cours de l'été 2006, Porsche obtient l'autorisation de l'État allemand de prendre la minorité de blocage de Volkswagen, en prenant ainsi le contrôle6.
Après avoir franchi les 30 % du capital, la marque de voitures de sport a été contrainte par la réglementation boursière de lancer une offre publique d'achat sur le reste du capital. Mais l'opération échoua, Porsche proposant délibérément un prix trop faible. Depuis août 2007, le groupe tente d'augmenter ses parts dans Volkswagen7. Porsche possédait 50,76 % des parts de Volkswagen à partir du 6 janvier 2009 et avait annoncé vouloir monter à 75 % d'ici la fin de l'année 20098.
En 2009, en tentant d'acquérir une majorité de contrôle dans Volkswagen, Porsche a accumulé une importante dette. Elle est incapable de respecter ses engagements financiers, car Volkswagen a vu son titre augmenter de façon appréciable au cours de l'année précédente, permettant à Porsche de réaliser un profit appréciable sur papier. Selon les lois fiscales allemandes, Porsche doit verser un impôt sur cette plus-value, montant en argent qu'elle ne possède pas. En juillet 2009, Porsche a accumulé des dettes dépassant 10 milliards d'euros. Pour éviter la faillite, Porsche a accepté les conditions posées par le Qatar Investment Authority, lequel injectera un important montant dans Porsche tout en l'obligeant à fusionner ses activités avec Volkswagen9,10,11,12.
Porsche a présenté lors du Challenge Bibendum en mai 2011 un prototype de voiture électrique : le Boxster E, existant en plusieurs versions. Aucune date de commercialisation n'a été annoncée pour le moment, mais il est probable que des voitures électriques Porsche soient disponibles sur le marché dans un avenir "relativement proche"13.
j'adore la ville de paris
voici la oui je vis
Univers[modifier]
Call of Duty 4: Modern Warfare se déroule à l'époque contemporaine, à une date non précisée (par défaut, on retient la première date de sortie du jeu). La Russie est en pleine guerre civile : loyalistes au gouvernement russe contre ultra-nationalistes. Au Moyen-Orient, un puissant pays règne sur une bonne partie de la péninsule arabique avec sa capitale située aux alentours de la frontière irano-irakienne actuelle. Ce pays pétrolier était autrefois une monarchie pro-occidentale, renversée par une révolution avec à sa tête, Yasir Al-Fulani devenu par la suite président.
Bien qu'il soit difficile de situer exactement l'année à laquelle se déroule les événements du jeu, on peut émettre une hypothèse à partir d'une mission flashback se déroulant 15 ans avant le présent et « une décennie après la catastrophe de Tchernobyl » de 1986, ce qui signifierait le milieu des années 90. Dans ce cas, le jeu se déroulerait donc aux alentours de 2011, voire 2016 (selon une mission dans MW3). De toute façon, l'action de Modern Warfare fait référence à des personnages fictifs et des évènements imaginaires, ce qui le place dans un cadre intemporel contrairement aux précédents. Le principal est de savoir que le jeu s'inscrit dans un présent possible.
La campagne a subi l'influence de divers films de guerre tels que La Chute du faucon noir ou En territoire ennemi (d'ailleurs, tout comme Niko Bellic de Grand Theft Auto IV, le personnage de Victor Zakhaev semble être inspiré de Vladimir Machkov du film).
Personnages[modifier]
Le sergent John "Soap" MacTavish, un nouvel arrivant au 22e régiment du SAS est le protagoniste du jeu, et l'un des deux principaux personnages jouables. Ses deux supérieurs sont le capitaine Price, un personnage "récurrent" de la série et Gaz, un londonien qui fait bien entendre ses origines à travers son accent cockney (dans la version originale).
L'autre personnage jouable principal est le sergent Paul Jackson de la 1re Force Reconnaissance de l'USMC. Il est chaperonné par le lieutenant Vasquez, un grand hispanique et le sergent-chef Griggs, un afro-américain amateur de rap.
L'ennemi est Imran Zakhaev, le chef des ultra-nationalistes russes. Il a un fils s'appelant Victor. Son homologue arabe et associé s'appelle Khaled Al-Asad.
Parmi les personnages coopératifs aux forces américaines et britanniques, on retrouve le sergent Kamarov des Spetsnaz et des forces armées de la fédération de Russie et l'informateur russe Nikolaï. On peut observer la ressemblance entre le nom Kamarov et le pistolet soviétique d'après guerre Makarov.
Le joueur incarne aussi trois autres personnages à une seule occasion chacun : le président Yasir Al-Fulani pour "vivre" son exécution de manière subjective, un opérateur TV d'un AC-130 et le capitaine Price, 15 ans auparavant alors qu'il n'était que lieutenant il a été incarné 2 mission de suite accompagné du capitaine MacMillan, son supérieur écossais.
Histoire[modifier]
Prologue[modifier]
Le sergent "Soap" MacTavish arrive à la base du 22e SAS à Hereford (Royaume-Uni), accueilli par Gaz et le capitaine Price. Après un entraînement rapide, l'escouade file au détroit de Béring pour intercepter un navire cargo. Ils y découvrent une arme nucléaire avec des inscriptions en arabe. Soudain, des avions de chasse attaquent le navire. L'équipe évacue in extremis avant qu'il ne coule. Au même moment au Moyen-Orient, le mouvement anti-occidental mené par Khaled Al-Asad procède à un coup d'état. Ce dernier exécute en personne l'ancien président Al-Fulani en présence de son homologue russe, Imran Zakhaev et son fils.
Acte I[modifier]
AC-130.
Après leur mission du cargo, l'équipe du capitaine Price se rend dans les montagnes caucasiennes pour récupérer Nikolaï, l'informateur du SAS dont la couverture a sauté. L'équipe y rejoint les loyalistes russes du sergent Kamarov. Ensembles, ils prennent d'assaut un village, mais Kamarov semble plus déterminé à éliminer les ultra-nationalistes que sauver leur informateur. Comme Gaz et Price semblent plutôt pressé, ils lui demandent violemment où est détenu Nikolaï. Il leur indique la maison située au Nord-Est du village. Après avoir traversé celui-ci, les SAS surprennent les occupants de la maison, profitant de l'obscurité, et libèrent leur informateur. Ils sont évacués en hélicoptère pour se rendre à Hambourg. Pendant ce temps, les Marines américains lancent une invasion par la Mer Rouge. L'équipe de Force Recon composée du Lt. Vasquez, du SSgt. Griggs et du Sgt. Jackson investit des emplacements présumés d'Al-Asad sur le littoral mais ceux-ci sont "vides". La nuit, les combats ne perdent pas de leur intensité. L'unité de Vasquez doit secourir le char « Sanglier », coincé dans un marais. Ils parviennent à repousser l'attaque ennemie, appuyés d'un soutien aérien. Les SAS quant à eux sont abattus en cours de route au-dessus d'une zone rurale en Russie occidentale. Les survivants doivent échapper aux patrouilles ennemies qui les recherchent et rejoindre le point d'extraction. Ils obtiennent le soutien d'un AC-130 qui les accompagne. Une fois évacué, on retrouve Jackson au Moyen-Orient. Le jour est levé, « Sanglier » est opérationnel. L'équipe de Vasquez accompagne le char à travers un quartier. Ils participent ensuite à la dernière grande offensive sur la capitale, censé mener à la capture d'Al-Asad. On y découvre cependant une bombe nucléaire qui pourrait exploser à tout moment. Tandis que les forces américaines évacuent la ville, un Cobra est touché. La pilote est encore vivante et l'équipe de Vasquez décide de la sauver. Au péril de sa vie, Jackson ramène la pilote au CH-46. Au moment de l'évacuation, la bombe explose et touche de plein fouet les hélicoptères dont celui où se trouvait Vasquez et Jackson. Ce dernier, ayant survécu au crash, erre dans les rues de la ville avant de s'éteindre définitivement en regardant le nuage atomique.